Suite à leur visite, en août 1860, l'empereur Napoléon III et l'impératrice Eugénie promettent, d'offrir à la ville d'Annecy un bateau à vapeur destiné au transport des personnes.

Le « France » est le dernier bateau à roues à aubes français.

Dans une délibération du 22 avril 1968, on peut lire « qu'il est nécessaire de construire aux Marquisats un mur de quai de 400 mètres de longueur et une jetée de 15 mètres. »

Une première tentative d'introduction de cygnes sur le lac d'Annecy est faite en 1716 au grand étonnement des habitants qui ne tardèrent pas à découvrir que la chair de ces majestueux oiseaux était comestible.

« Dès 9h, la route de Sévrier est envahie par les Annéciens qui s'installent au bord du lac, tout autour du hangar de la Compagnie des Bateaux à vapeur, pavoisé de trophées de drapeaux. [...] Le nouveau bateau est tout pimpant, ses boiseries, ses cuivres, ses vernis reluisent au soleil et la brise fait flotter gaiement les drapeaux et les pavillons qui le décorent.

Vers 1854, avec le surplus de terre provenant de la rectification de la partie nord-ouest du clos Lombard (aujourd'hui le jardin de l'Europe) une île est créée.

Les barques marchandes du lac d'Annecy, de dimensions plus modestes toutefois, ressemblent fort à celles du lac Léman.

En septembre 1906, la grève devant le Pâquier et le long de l'avenue d'Albigny est complètement découverte, le retrait des eaux atteint 150 mètres.

Napoléon III et l'Impératrice Eugénie ont offert à la ville d'Annecy un bateau à vapeur lors de leur venue en 1860 suite au rattachement de la Savoie à la France.

Jean Dezaire, est le seul loueur de « batelets de plaisance » jusqu'en 1868 date à laquelle Jean Curtenaz vient renforcer cette charmante flottille stationnée sur la rive droite du Thiou près du pont de la Halle.

En 1873, quelques Annéciens fondent la Compagnie de navigation du lac d'Annecy et, l'année suivante, mettent en service l'Allobroge. S'ouvre alors une période de concurrence, entre la ville et la nouvelle Compagnie, émaillée d'incidents plus ou moins graves.

Le 27 mai 1878, Paul Prioulet, originaire d'Avignon, est autorisé à établir sur le lac, le long du quai des Marquisats, un établissement de bains froids sous certaines conditions.

À l'aube des années 1960, le France fête ses 50 ans d'activité au service de la Compagnie des bateaux à vapeur du lac d'Annecy.

Dès le milieu des années 1920, Annecy réfléchit à différents projets pour la création d'une plage municipale, comme le sont déjà équipés les villes d'Evian-les-Bains, Aix-les-Bains et Genève.

Avec une superficie de près de 28 km2, une profondeur moyenne d'une quarantaine de mètres et son point le plus profond à 65 mètres, le lac d'Annecy n'est pris par les glaces que de façon très exceptionnelle.

La marque Austral ne se contente pas de construire des tricycles, des motocyclettes et des bicyclettes.

Le dimanche 14 août 1932, est organisé un grand gala de natation au bassin des Marquisats par les Dauphins Annéciens.

La compagnie aérienne française, exploite sur les côtes françaises un service d'hydravions de tourisme et décide de s'implanter sur le lac d'Annecy en 1928.

Quel spectacle, en ce début d'après-midi du 20 mars, sur la route qui borde le lac au lieu-dit « Angon-Balmette » : une camionnette sort des eaux, treuillée par une grue.

L'idée « d'Annecy-plage », née à Annecy au milieu des années 1920, va occuper les esprits et les colonnes des journaux, jusqu'au 12 janvier 1933, date de la première mesure officielle prise pour sa réalisation.

À la hauteur du hameau des Choseaux à Sevrier, un magnifique parc boisé coiffe une colline dont les pentes se terminent en pré en bordure du lac. Au sein de cette verdure se dissimule une imposante maison bourgeoise : c’est le « Clos Berthet ».

S'il est un pont connu de tous les Annéciens et très prisé des touristes, c'est celui des Amours, qui marque, avec le Thiou, une des entrées des eaux du lac dans la ville.

À partir de 1838, la place aux Bois trouve son rôle définitif : celui d'un vaste emplacement bien adapté à ses fonctions économiques, animée par le trafic de matériaux de toutes sortes.