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L'église romane de Quintal est l'une des plus anciennes de Haute-Savoie. Construite au 11e siècle, elle conserve des éléments propres à l'architecture romane et en particulier un chevet composé d'une abside et d'absidioles ornées de bandes lombardes.

Au pied du Semnoz, la chapelle des Vernettes est le témoin de l'importance qu'avait encore la religion dans les campagnes au 19e siècle. Elle raconte aussi par son appellation, le passé rural et agricole de la commune.

A la fin des années 1960, la création du quartier de Champ Fleuri marque une étape importante de l'urbanisation de Seynod. Au centre d'un vaste périmètre, des architectes et un paysagiste créent un quartier d'immeubles collectifs remarquables.

Au sommet de la butte Saint-Martin, l'église du même nom est un témoin de l'histoire ancienne de la commune de Seynod aujourd'hui en partie urbanisée sur ce secteur. Elle permet un ancrage des habitants de la commune dans le passé.

L'église néogothique de Vieugy témoigne de l'indépendance passée du village de Vieugy par rapport à Seynod. Elle illustre également le choix de l'architecture néogothique pour la construction des églises à partir des années 1850.

Au centre du hameau de Balmont, l'église Notre-Dame de l'Assomption dresse son clocher dans le paysage rural de cette partie de la commune de Seynod. Reconstruite à partir de 1867, cette église adopte l'architecture néogothique.

Aujourd'hui située à proximité d'un lotissement, l'ancienne maison forte de Châteauvieux est un témoin de l'organisation médiévale du territoire. Propriété d'une famille de notables annéciens à partir du 16e siècle, elle devient par la suite une ferme.

Classé monument historique en 1900, le Palais de l'Ile, qualifié souvent de « maison en forme de galère » a été une prison, un palais de justice et un centre administratif. Il s'agit d'un édifice original dont les parties anciennes datent du 12e siècle.